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Le 19 septembre 2022 à 04:21, par Pedro 
En réponse à : Mobilisons nous pour la paix et contre le poids que la guerre fait peser sur les travailleurs et les pauvres de tous les pays.
Conférence de presse du 19 mars 2025 tenue par la porte-parole du ministère des Affaires étrangères Mao Ning
China (…)
Cuba a demandé à faire partie des BRICS. C’est ce qu’a annoncé le directeur général des relations bilatérales du (…)
Il semblerait que la grande bourgeoisie française (Medef) est en train de prendre conscience que se placer sous la (…)
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(2002) Lenin (requiem), texte de B. Brecht, musique de H. Eisler
Un film
Sur une musique de Hans Eisler, le requiem Lenin, écrit sur commande du PCUS pour le 20e anniversaire de la mort de Illytch, mais jamais joué en URSS... avec un texte de Bertold Brecht, et des images d’hier et aujourd’hui de ces luttes de classes qui font l’histoire encore et toujours...
Le 21 mars 2009, 155 militants, de 29 départements réunis à Malakoff signataires du texte alternatif du 34e congrès « Faire vivre et renforcer le PCF, une exigence de notre temps ». lire la déclaration complète et les signataires
Les résultats de la consultation des 16, 17 et 18 juin sont maintenant connus. Les enjeux sont importants et il nous faut donc les examiner pour en tirer les enseignements qui nous seront utiles pour l’avenir.
Un peu plus d’un tiers des adhérents a participé à cette consultation, soit une participation en hausse par rapport aux précédents votes, dans un contexte de baisse des cotisants.
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Unir les communistes pour un PCF de combat, marxiste, populaire et rassembleur
Texte signé par 542 communistes de 64 départements présenté au 36e congrès du PCF comme base de discussion. Il a obtenu 3694 voix à la consultation interne pour le choix de la base commune (sur 33 623 exprimés) .
Texte nr 3, Unir les communistes, le défi renouvelé du PCF et son résumé.
Signé par 626 communistes de 66 départements, dont 15 départements avec plus de 10 signataires, présenté au 37e congrès du PCF comme base de discussion. Il a obtenu 3.755 voix à la consultation interne pour le choix de la base commune (sur 24.376 exprimés).
L’ensemble des documents publiés pour ce 38e congrès sur ce site
lire la rubrique du congrès
et quelques articles clés complémentaires
– discours de clôture du congrès de Fabien Roussel, nouveau secrétaire national
– une analyse de classe du mouvement des gilets jaunes par Philippe Cordat
– un texte de Jean-Claude Delaunay le marxisme est la science sociale de notre temps
– un appel proposé aux partis communistes et ouvrier d’Europe
– demandez le numéro 10 de la revue Unir les Communistes
– les cinq chantiers pour contribuer au débat sur le projet communiste
– pour une autre société, le socialisme.
– le dernier congrès du PCF
– contribution de jeunes communistes au 39e congrès : Six chantiers pour affirmer l’ambition révolutionnaire du PCF
– un texte de Jean-Claude Delaunay le marxisme est la science sociale de notre temps
– un appel proposé aux partis communistes et ouvrier d’Europe
– les cinq chantiers pour contribuer au débat sur le projet communiste
« l’histoire de toute société jusqu’à nos jours est l’histoire de la lutte de classes »
Quand on « oublie » le contexte politique réel, actuel, d’une déclaration on ne peut que se tromper ou faire le jeu d’autres forces politiques.
Evidement les communistes sont pour une société de travail (en diminution constante pour une série des travaux pénibles et repetitifs ou sans réel valeur social), pour un travail, créatif, réel et productif et aussi en diminution constante pour l’accorder avec les forces phusiques et une vie d’étude, de recherche, de création et de loisir et pour le principe « à chacun selon son travail » (le socialisme) qui aille le plus vite possible vers « à chacun selon ses besoins » (le communisme).
Mais, déclarer comme idéaux ces principes dans le contexte d’un capitalisme et pleine crise économique (chômage, exclusion, discrimination sociale et sexuelle, racisme) et guerre mondiale (ad portas) c’est tout simplement faire le jeu de la droite.
La droite afin de défendre le grand capital, a toujours mis en avant la surexploitation des artisans et petits commerçants qui, pour arriver au même niveau de revenus qu’un salarié correctement payé, doit faire le double des heures. La raison est sa productivité bien moindre que le grand capital.
Cette « défense du travail », en réalité de la surexploitation d’une masse des travailleurs parce que le capitalisme est incapable de donner un travail correcte à une large partie des prolétaires, est un rideau de fumée réactionnaire où certains travailleurs se laissent prendre, surtout en période de réaction politique.
Mais un communiste ne peut pas s’y laisser prendre. Il doit non seulement denoncer les ruses politiques du grand capital mais aussi avancer tous les moyens pour éviter qu’une bonne partie des prolétaires rentrent dans une misère noire, deviennent des lumpen-prolétaires au service politique et militaire de la réation.
Un communiste doit éclairer et non pas caresser dans le sens du poil le confusionisme politique de la réaction. Et en cela il faut être très vigilant et departager très netement les barrières de classe entre notre conception politique et celle de la réaction et de l’impérialisme.
Donc, un communiste defend et lutte aussi pour développer, dans le cadre du capitalisme, les allocations, et autres formes de salaire indirecte et de soutient d’une partie importante du prolétariat sans ressources.
Roussel, comme tant d’autres qui ont réussie à s’emparer de la direction du parti communiste doivent être expulsés et le parti doit trouver les forces pour se purger des carriéristes et autres opportunistes afin de ciommencer la reconstruction d’un véritable parti communiste que les travailleurs et les pauvres (sous allocations pour vivre dans un capitalisme pourrisant) en ont tant besoin.