Le tournant à 180 degrés de la politique étrangère bolivienne depuis le coup d’État

, par  Paule Lanta-Ménahem

Le 3 mars 2020 à 19:41, par Paule Lanta-Ménahem En réponse à : Le tournant à 180 degrés de la politique étrangère bolivienne depuis le coup d’État

A fuir l’histoire passé de ce territoire, Evo Morales a fragilisé son projet :
40% de la population de la Bolivie n’est pas indigène mais a des ascendants arrivé soit du temps de l’esclavage ( l’esclavage en Bolivie n’est aboli qu’en 1952 !) soit des ascendants de réfugiés nazis, fuyant Nuremberg ; le 10 août 1944 convoquée par Himmler les grands groupes de l’Allemagne Hitlérienne ( Krupp, Volkswagen, IG Farben) pou envisager le transfert massif de capitaux allemands vers l’ Amérique du Sud (source l’ historien Jorge Camarasa
Regretter l’éviction d’ E. Morales je suis d’accord mais ne pas situer sa propre responsabilité ne nous servirez pas à nous ici, qui nous donnons pour objectif de mettre fin à l’impérialisme financier sous hégémonie US
Paule Lanta de Pau

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