Un communiqué commun, signé par plus de cinquante collectifs, syndicats, associations dénonce la répression accrue (…)
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Les tarifs des péages autoroutiers augmentent de 1,8% à 1,9% au 1er février. Hervé Maurey, sénateur centriste de (…)
Communiqué du syndicat CGT du Vinatier :
Ce jeudi 13 février 2020, une infirmière a été assassinée à Thouars. (…)
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Un film
Sur une musique de Hans Eisler, le requiem Lenin, écrit sur commande du PCUS pour le 20e anniversaire de la mort de Illytch, mais jamais joué en URSS... avec un texte de Bertold Brecht, et des images d’hier et aujourd’hui de ces luttes de classes qui font l’histoire encore et toujours...
Le 21 mars 2009, 155 militants, de 29 départements réunis à Malakoff signataires du texte alternatif du 34e congrès « Faire vivre et renforcer le PCF, une exigence de notre temps ». lire la déclaration complète et les signataires
Les résultats de la consultation des 16, 17 et 18 juin sont maintenant connus. Les enjeux sont importants et il nous faut donc les examiner pour en tirer les enseignements qui nous seront utiles pour l’avenir.
Un peu plus d’un tiers des adhérents a participé à cette consultation, soit une participation en hausse par rapport aux précédents votes, dans un contexte de baisse des cotisants.
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Unir les communistes pour un PCF de combat, marxiste, populaire et rassembleur
Texte signé par 542 communistes de 64 départements présenté au 36e congrès du PCF comme base de discussion. Il a obtenu 3694 voix à la consultation interne pour le choix de la base commune (sur 33 623 exprimés) .
Texte nr 3, Unir les communistes, le défi renouvelé du PCF et son résumé.
Signé par 626 communistes de 66 départements, dont 15 départements avec plus de 10 signataires, présenté au 37e congrès du PCF comme base de discussion. Il a obtenu 3.755 voix à la consultation interne pour le choix de la base commune (sur 24.376 exprimés).
L’ensemble des documents publiés pour ce 38e congrès sur ce site
lire la rubrique du congrès
et quelques articles clés complémentaires
– discours de clôture du congrès de Fabien Roussel, nouveau secrétaire national
– une analyse de classe du mouvement des gilets jaunes par Philippe Cordat
– un texte de Jean-Claude Delaunay le marxisme est la science sociale de notre temps
– un appel proposé aux partis communistes et ouvrier d’Europe
– demandez le numéro 10 de la revue Unir les Communistes
– les cinq chantiers pour contribuer au débat sur le projet communiste
– pour une autre société, le socialisme.
– le dernier congrès du PCF
– contribution de jeunes communistes au 39e congrès : Six chantiers pour affirmer l’ambition révolutionnaire du PCF
– un texte de Jean-Claude Delaunay le marxisme est la science sociale de notre temps
– un appel proposé aux partis communistes et ouvrier d’Europe
– les cinq chantiers pour contribuer au débat sur le projet communiste
On ne peut pas parler de démocratie dans l’abstrait, mais de démocratie bourgeoise.
La bourgeoisie exerce sa dictature sous une forme démocratique, c’est-à-dire qu’elle accepte une liberté relative d’expression mais que la décision lui appartient.
Cette forme démocratique c’est par exemple le droit de nous exprimer ici, mais il pourrait aussi disparaître si la situation devenait trop tendue.
De même on ne peut pas parler de violence dans l’abstrait, et dire que « la violence est une impasse ». Il faut préciser de quelle violence nous parlons.
Naturellement nous sommes contre la violence, mais pas pour tendre l’autre joue.
Lorsque les Conti ont saccagé la game boy du sous préfet, ils avaient raison. Et le RH qui s’est fait arracher sa liquette n’a pas fait verser une larme. Son image a fait le tour de la terre et tous les prolétaires du monde y ont reconnu un symbole de la lutte des classes.
Récemment des manifestants tiraient parfois une maquette de guillotine. C’était évidemment un symbole, celui d’une révolution et non d’un débat « démocratique » sur la constitutionnalité de telle ou telle loi, fabriquées exprès pour bâillonner la classe ouvrière.
Par contre les abribus et les vitrines ne sont pas des symboles de l’exploitation capitaliste, tout le monde le sait, tout le monde le dit, à part quelques agités du bocal. Détruire des biens publics nuit au peuple, détruire des vitrines nuit aux employés des commerces, pas au grand capital.
La violence est d’abord provoquée par la bourgeoisie et son gouvernement, et sa dictature aura pour conséquence le renversement de la bourgeoisie par la violence des masses.
Est-ce que la pantomime parlementaire ne l’a pas suffisamment démontré ?
Est-ce que la « collecte » des armes n’a pas démontré à quel point la bourgeoisie a peur ?
La question qui se pose sur l’action violente, et aussi sur l’action illégale, n’est pas une question de principe mais une question pratique. Dans quelles conditions sommes-nous contraints d’utiliser la violence du peuple et l’action illégale, et contre qui faut-il les utiliser ?
Le blocage des transports, les piquets de grève, les occupations de sites, les grèves tournantes, perlées, etc. sont des actions violentes, illégales. Dans le passé il est arrivé que la bourgeoisie envoie tirer sur les grévistes, que l’armée soit mobilisée et envahisse les corons, que la presse dénonce une « insurrection ». Comment les communistes peuvent-ils aller au-delà ?
Pas en invoquant la démocratie, mais nécessairement par une organisation conséquente qui puisse briser y compris la force armée.
Et réciproquement, si cette question est envisagée, celle de la prise du pouvoir par la force, et au moins pour commencer une protection des cortèges indépendante des forces de police, des cortèges moins décontractés et davantage militants, moins de camions sono et davantage de chants et de slogans combatifs, avec des rangées qui se tiennent les coudes et un service d’ordre conséquent, alors la violence aveugle, les actes irréfléchis et enfantins n’auront plus d’objet.