Guennadi Ziouganov : Nous nous sommes battus pour la patrie soviétique

, par  etoilerouge

Le 25 septembre 2018 à 17:31, par etoilerouge En réponse à : Guennadi Ziouganov : Nous nous sommes battus pour la patrie soviétique

Il n’y a rien de pire que le trahison de ses dirigeants car ce qui apparait comme pour le rapport KROUTSCHEV c’est la trahison du sommet, des hauts cadres. Etant en Urss et en OUZBEKISTAN au mitan des années 1970 je peux certifier la progression dans la jeunesse des idées propres à l’eurocommunisme, des illusions qui ont amené non seulement avec d’autres raisons la chute violente de l’URSS mais la disparitition des partis eurocommunistes et eux seuls à l’échelle mondiale. Par ailleurs la réaction en CHINEdes dirigeants fut la défense du pouvoir populaire. Ils ont bien fait ce qui prouve d’ailleurs que les pro capitalistes étaient à l’œuvre comme en URSS. Que des centaines et des milliers de communistes furent assassinés , que des millions sont morts de misère prématurément comme en ex RDA ne semble pas soulever chez CN46 un quelconque sentiment de solidarité communiste. Que ce soit les cadres qui aient trahis et non les ouvriers ou paysans doit nous interroger. Effectivement STALINE( pour simplifier) a exercé la dictature sur la bureaucratie au nom du prolétariat, et KROUTSCHEV a ouvert la voie à la dictature de la bureaucratie des cadres sur le prolétariat. C’est manifeste : KROUTSCHEVqui commis de nombreuses erreurs avait peur de STALINE et de son intégrité terrible. Première leçon le contrôle de la bureaucratie et des cadres doit être total. Dans les années 1970 l’URSS est toujours en croissance, le ralentissement n’a rien de l’effondrement économique que vivent de nombreux pays capitalistes en tous domaines dont le notre. Mais quand on est habitué aux acquis socialises et que la progression est moindre ou faible, années 1980, alors le mécontentement est plus fort car le peuple sur de son fait.Mais le peuple n’a pas apprécié que ceux qui criaient le plus allaient les trahir. Les cadres voulaient vivre dans les années 1980 comme en Angleterre, France ou USA où leurs niveaux de vie explosaient et d’ailleurs aujoourd’hui encore continue de monter alors que les travailleurs, classe ouvrière ontété appauvris conséquence aussi de non contrôle des cadres et deleurs syndicats corporatistes.

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