Mémoire trafiquée de la Seconde Guerre mondiale : quand l'Histoire devient une arme de guerre

Pour avoir beaucoup écouté mon père raconter la période 1943 de l'histoire, je suis en parfait accord avec cet article.
Mon père était avant la guerre militant socialiste se battant pour la réunification du PS avec le PC, puis adhérent du PC après la guerre, à mainte reprises il m'a expliqué qu'il était persuadé que c'était sa carte du PS qui lui avait évité les camps de concentration dont il ne serait sûrement pas revenu. Il était lecteur assidu de l'humanité avant la guerre et il était chef d'un centre d'amplification des Lignes à Grandes Distances au PTT,c'est à dire l'ancêtre de France Télécom,pendant la guerre. C'était un lieu stratégique et le centre était occupé par les allemands. Mon père, Toto de son nom de résistant, m'expliquait que début 1943 il avait eu une discussion avec le capitaine allemand à qui il disait qu'ils allaient faire comme Napoléon et se faire dérouiller par l'URSS, ce qui se réalisa fort heureusement.
Mon père m'expliquait que les américains sont intervenus tard dans la guerre lorsqu'ils ont eu peur que L'URSS libère toute l'Europe.
Merci de remettre les faits d'aplomb.

Mémoire trafiquée de la Seconde Guerre mondiale : quand l’Histoire devient une arme de guerre - commentaires

Mémoire trafiquée de la Seconde Guerre mondiale : quand l'Histoire devient une arme de guerre