24 août 1991 : déclaration d’indépendance de l’Ukraine. « Un quart de siècle qui a tourné en tragédie. » Par Georges Kryuchkov - commentaires24 août 1991 : déclaration d'indépendance de l'Ukraine. «<small class="fine d-inline"> </small>Un quart de siècle qui a tourné en tragédie.<small class="fine d-inline"> </small>» Par Georges Kryuchkov2016-09-25T09:17:23Zhttp://www.lepcf.fr/24-aout-1991-declaration-d-independance-de-l-Ukraine-Un-quart-de-siecle-qui-a#comment20132016-09-25T09:17:23Z<p>Banalités oubliées sous le tapis, mais à ressasser : le populisme, en Ukraine et bientôt aux <span class="caps">USA</span> ou en France, semble convenir tout-à-fait au jeu capitaliste. La guerre, ça l'arrange (cf Jaurès). <br class="autobr">
Le pouvoir au peuple, en vrai, ne sera pas la panacée, mais il faut de nouveau que l'on puisse l'envisager comme une option possible (et nécessaire). Sans dieu ni tribun.</p>24 août 1991 : déclaration d'indépendance de l'Ukraine. «<small class="fine d-inline"> </small>Un quart de siècle qui a tourné en tragédie.<small class="fine d-inline"> </small>» Par Georges Kryuchkov2016-09-25T09:05:10Zhttp://www.lepcf.fr/24-aout-1991-declaration-d-independance-de-l-Ukraine-Un-quart-de-siecle-qui-a#comment20122016-09-25T09:05:10Z<p>Témoignage poignant, que j'aimerais voir prendre en compte par le <span class="caps">PCF</span>. Or, celui-ci a été singulièrement aveugle ces dernières années quant à la brutalité du Capital. Je pense à la Lybie (les manifs contre «<small class="fine d-inline"> </small>l'intervention humanitaire et démocratique<small class="fine d-inline"> </small>» de l'<span class="caps">OTAN</span> ont été bien tardives et mollassonnes), à la Grèce (Tsipras porté aux nues), à la Syrie (soutien honteux aux putschistes, raccord avec l'Elysée et Washington), etc. Sans oublier le blackout sur le 11 septembre 2001 : la version officielle en est à peu de chose près entérinée, et ses terribles conséquences déplorées de façon anecdotique. <br class="autobr">
La quasi-disparition des votes communistes, et l'abstention de plus en plus massive, sont liées à mon avis à l'absence d'analyse claire dans le paysage politique français (et occidental) des enjeux, des forces, du processus à l'oeuvre. <br class="autobr">
Cela est vrai aussi en matière économique, depuis la «<small class="fine d-inline"> </small>fin de l'histoire<small class="fine d-inline"> </small>». Alstom vendu (volé), et maintenant dépecé contrairement aux promesses, n'est qu'un récent exemple de la catastrophique perte de pouvoir de ce qu'on ose encore appeler démocratie.</p>